Mon amie m’a déposée à la gare, ce n’était pas le bon quai, j’ai du changer de quai en remontant tout un T.G.V puis comme j’avais une place dans la voiture 8 d’un autre T.G.V, à nouveau j’ai remonté ce T.GV jusqu’à la tête du train. Ouf, enfin assise pour quelques heures. L’aventure se révèle épuisante. J’aurai pour compagnon de voyage un recueil des plus beaux contes Zen.
Jadis j’ai beaucoup voyagé, j’aimais découvrir le monde. Cela m’était facile de partir à l’aventure avec pour tout bagage un sac à dos . J’étais jeune , j’avais l’énergie, j’étais infatigable et ma soif de découverte était intarissable.
Aujourd’hui, cette aventure géographique là m’est beaucoup moins agréable voire parfois insupportable et je m’adonne au voyage intérieur avec plus de facilité et beaucoup de plaisir…
… lequel ?! (recueil de contes zen) (((-:
oui les voyages forment la jeunesse mais il en faut de l’énergie! lol! ((-:
Celui d’Henri Brunel . La lune a une place certaine dans ces contes là….
Chez Calmann-Levy