Quelques roses commencent à se faner, je reviendrai au mois de mai.
C’est la deuxième fois que je visite Lyon sous le soleil et un ciel bleu pale, mais bleu, pour un peu, je m’imaginerais qu’il fait toujours beau dans cette ville. La vision de ses roses qui se fanent vite m’a fait penser à un passage d’un poème de John Keats :
Je vois un lis sur ton front
Avec la moiteur de l’agonie et la rosée de la fièvre
Et sur la joue une rose qui se flétrit
Et se fane de même rapidement_