Bon jour Jean,
Dimanche premier octobre j’ai découvert ta ville, la ville où tu es né et où tu as vécu : Manosque, une belle ville, typique de cette région des hautes Alpes
De lourds nuages courraient très vite dans le ciel battant tantôt pavillon noir, tantôt pavillon blanc…
Ébullition et averses de pluie d’écritures, d’écritoires…. et averses tout court. C’était le premier dimanche d’octobre. C’était l’automne.
Dans la rue grande, la rue où tu vivais enfant, l’eau de la fontaine aux cygnes noirs était émeraude. C’est toujours un lieu de passage et il y a toujours autant de boutiques. Ta souvenance se promène de ci de là…. Tu ne fais de l’ombre à personne bien au contraire , tu éclaires cet endroit …
Des centaine d’énergies nouvelles sont nées de ta belle énergie créatrice dont tu as fait preuve toute ta vie.
-L’homme qui plantait des arbres-
Une nouvelle de toi, Jean Giono, une nouvelle que j’ai beaucoup appréciée.
Tu as semé des forêts de mots qui aujourd’hui sont immenses…
Des mots, des livres, des écrivains connus ou inconnus, il y en avait partout, tiens, moi aussi j’y étais et puis aussi Patrick Deville qui, cette après midi là présentait son livre : Peste et choléra.
Je suis passée par ici, je suis passée par là, j’y retournerai peut être l’année prochaine.
Tags: averse, brigitte Gladys, ébullition, écritoire, écriture, écrivain, énergie créatrice, forêt, Jean Giono, Les correspondances de Manosque, livre, nuage, Patrick Deville, pavillon blanc, pavillon noir