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Un bain relaxant : Il n’y a pas de mal à se faire du bien.

jeudi, juillet 15th, 2010

Article pris dans psychologie hors série du mois d’avril 2006

Huiles essentielles, fleurs séchées, une fois par semaine concoctez vous un bain de volupté.

Au programme : Paix du corps et plaisir des sens. Pour profiter pleinement de ces quelques minutes de sérénité, il suffit de soigner les détails.

La lumière, le silence, le confort. Quelques astuces font la différence : Un éclairage à la bougie, le portable éteint, une serviette -éponge moelleuse sous la nuque. Évitez l’usage du savon et du shampoing car leurs principes actifs perturbent les effets bénéfiques des huiles essentielles. Le petit plus : Terminer par une douche fraîche de quelque secondes, pour tonifier la peau et activer la circulation.

Bain aux pétales de rose.

La couleur des pétales a son importance avec la couleur rouge le bain sera tonifiant, rose, apaisant etc….

Recette:

125 ml d’eau de rose

1 cueillérée à soupe d’huile d’amande douce

7 gouttes d’huiles essentielle de rose

75 grammes ou deux poignée de pétales de roses parfumées séchées, choisir la couleur en fonction de l’effet souhaité. Choisir des roses non traitées.

Si l’huile de rose est réputée pour ses qualités pour ses propriétés médicinales (elle est purifiante et antihémorragique)  Elle est aussi appréciée

pour ses vertus antistress.

Elle fait baisser la tension nerveuse et prépare au sommeil.

Dans un flacon, mélangez l’eau de rose et l’huile d’amande douce, ajoutez l’huile essentielle goutte à goutte, puis verser la préparation dans l’eau du bain.Pour encore plus de raffinement ajouter les pétales de roses séchées. Pensez à garder ceux de vos bouquets de roses, ils fleuriront vos bains toutes l’année.

Bon   Bain

Être en harmonie avec son corps son âme son esprit et son environnement.

jeudi, juin 24th, 2010

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Prendre le temps de faire une pause dans le vert de la prairie. Se ressourcer. L’instant est un mandala. En cercle on savoure un bon repas.

mercredi, juin 23rd, 2010

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Contempler un beau paysage.

mardi, juin 22nd, 2010

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Fuir, l’agitation de la ville, marcher en conscience et tranquillement dans la nature.

mardi, juin 22nd, 2010

Prendre du recul, se promener tout simplement, apprécier le grand air, la lenteur,tous les bonheurs que la terre nous offre ; les fleurs, les plantes, les couleurs, le grand air et puis le plaisir de poser un pied devant l’autre et d’avancer… la-sainte-victoire-004.JPG

Pas à pas,relaxation, méditation sur les sentiers de la montagne Sainte Victoire.

lundi, juin 21st, 2010

ascenscion-promenade-076.JPGJ’aime méditer sur les sentiers,

respiration, inspiration

tous mes sens sont en éveil

le soleil fait de l’accrobranche sur les pins

les oiseaux se répondent gaiement

la lumière est douce et parfumée

fleurs de thym de romarin de serpolet

tapisserie de fleurs étoilées zinzolin

conscience du frémissement de l’air

conscience du bleu du ciel

conscience de la pesanteur du pas

conscience de la terre ocre-jaune

conscience du rocher orangé- rouge

conscience de l’écorce de l’arbre

immersion, respiration, inspiration

mon coeur palpite à l’unisson avec la nature

Au détour d’un sentier sa cime apparait

Elle est belle, souveraine, dominante

ses ombres et ses lumières découpent l’horizon

émerveillement, couleurs changeantes,

je la regarde, je la contemple.

Vibration, émotion, admiration

bonheur, relaxation.

Vers le centre

Vivre intensement l’instant quand il est beau avant qu’il ne s’évanouisse.

vendredi, juin 18th, 2010

Sur cette très belle ballenas.jpg plage d’Uruguay, on peut entendre le chant des colombes mais aussi le chant des baleines. Dieu merci, je ne vois aucun requin !!!

Gracias Nadia por tu lindas fotos.

Quand il est beau saisir l’instant avant qu’il ne s’évanouisse. Coucher de soleil sur la plage de La Paloma.

jeudi, juin 17th, 2010

Magnifique photo envoyée par Nadia qui habite de l’autre côté de l’atlantique et qui va souvent sur la plage de La Colombe.la-paloma.jpg La bas on vit le coucher de soleil avec intensité et quand il s’est enfin couché après avoir déployé une palette de couleurs flamboyantes, on l’applaudie.

Allez tranquillement …. Prenez attention . Tâchez d’être heureux.

mardi, juin 15th, 2010

Allez tranquillement parmi le vacarme et la hâte, et souvenez-vous de la paix qui peut exister dans le silence. Sans aliénation, vivez autant que possible en bons termes avec toutes les personnes. Dites doucement et clairement votre vérité et écoutez les autres, même le simple d’esprit et l’ignorant ; Ils ont leur histoire. Évitez les individus bruyants et agressifs, ils sont une vexation pour l’esprit. Ne vous comparez avec personne, vous risqueriez de devenir vain ou vaniteux. Il y a toujours plus grands et plus petits que vous. Jouissez de vos projets aussi bien que de vos accomplissements. Soyez toujours intéressé à votre carrière, si modeste soit-elle ; C’est une véritable possession dans les prospérités changeantes du temps. Soyez prudent dans vos affaires car le monde est plein de fourberies.

Mais ne soyez pas aveugle en ce qui concerne la vertu qui  existe ; Plusieurs individus recherchent de grands idéaux  et partout la vie est remplie d’héroïsme. Soyez vous -même.Surtout n’affectez pas l’amitié. Non plus ne soyez pas cynique en amour, car il est en face de toute stérilité et de tout désenchantement aussi éternel que l’herbe.

Prenez avec bonté le conseil des années, en renonçant avec grâce à votre jeunesse. Fortifiez une puissance d’esprit pour vous protéger en cas de malheur soudain. Mais ne vous chagrinez pas avec vos chimères . De nombreuses peurs naissent de la fatigue et de la grande solitude. Au-delà d’une discipline saine, soyez doux avec vous-même. Vous êtes un enfant de l’univers, pas moins que les arbres et les étoiles ; Vous avez le droit d’être ici. Et qu’il vous  soit clair ou non, l’univers se déroule sans doute comme il le devait. Soyer en paix avec dieu, quelque soit votre conception de lui ; Et quel que soient vos travaux et vos rêves, gardez, dans le désarroi bruyant de la vie, la paix dans votre âme. Avec toutes ses perfidies, ses besognes fastidieuses et ses rêves brisés , le monde est pourtant beau. Prenez attention . Tâchez d’être heureux.

Manuscrit d’un auteur inconnu  trouvé dans un vielle église de Baltimore en 1692.  Il  va droit à l’essentiel et  est éternel dans son essence .

Une des multiples facettes de la plilosophie des contes Zen que j’ai lu pendant le voyage.

vendredi, juin 4th, 2010

Un moine Zen se disposait à parler sur la grand place du village. Il avait soigneusement rédigé son discours,et il s’apprêtait à le lire, quand un brusque coup de vent fit s’envoler toutes les feuilles dans les branches du citronnier. Pris au dépourvu, incapable de retrouver le fil de sa harangue, il dit :

 » Mes amis, voici en résumé, ce que je voulais vous exposer :

Quand j’ai faim, je mange, quand je suis fatigué, je dors !

_  Mais tout le monde ne fait -il pas comme vous, maître ?

_ Non pas tout le monde de la même façon !

_ Pourquoi,  maître ?

_ Quand les gens mangent, ils pensent à mille choses, quand ils s’endorment, ils pensent à leurs problèmes. Voilà pourquoi ils ne sont pas comme moi !  »

C’est une belle philosophie de vie qui me plait beaucoup, j’arrive parfois à être comme lui mais pas toujours…

Cependant cette philosophie comporte une faille. Maître, si l’instant que  vous être en train de vivre est insupportable que faites vous ? Vous vous délectez de l’instant et vous vous y complaisez ?

Allongée à plat dos,  cassé, brisée, paralysée, ne pouvant bouger que la main gauche, en proie à une souffrance indescriptible sans savoir si un jour je remarcherais, si je pourrais utiliser ce bras droit paralysé, faire des gestes quotidiens, manger, boire, me peigner, écrire, peindre…. Avec pour toute toile de fond le plafond.

Mon expérience de vie me permet d’y répondre.

Il y a trois solutions à ce problème qui consistent toutes à sortir de l’instant.

La première, non pas la plus facile, c’est partir, tout laisser tomber pour ne plus souffrir, mais c’est le souvenir de mes enfants que j’allais abandonner qui m’a gardée en vie .

La deuxième, se projeter dans l’avenir  et imaginer qu’à nouveau, je marcherais, me voir en train de poser un pied  devant l’autre, être debout  et avancer,  qu’à nouveau, je pourrais  faire la pince avec mon pouce et mon index et écrire encore et prendre mes enfants dans les bras, les voir grandir.

Se servir de son imagination pour sortir de la prison dans laquelle cet accident m’avait plongée.

La troisième, se projeter dans le passé et ne visionner que les bons moments.

Peut être que le maître y avait aussi pensé et que parmi tous les feuillets qui se sont envolés, la réponse au problème s’y trouvait.

J’ai choisi les deux dernières solutions, j’ai mis plusieurs mois avant de commencer à réapprendre à marcher  et encore plus pour écrire. Je ne regrette pas mes choix, j’ai eu le bonheur de voir grandir mes enfants et puis,  j’écris, je créé et je peins et je philosophe.