Mandala-fleurs-étoilées .
Archive for the ‘fleur’ Category
Mandala-fleurs-étoilées.
jeudi, juillet 18th, 2019Glycine
jeudi, juillet 4th, 2019les grappes de la glycine frissonnent
Il pleut des papillons mauves
-Des pas résonnent-
Silence, quelqu’un vient….
PS : Serait-ce toi mon petit Atlas qui fête tes cinq ans aujourd’hui ?
Le zoo-parc de Sofia
vendredi, avril 26th, 2019Ici, on est proche de la famille, il n’est pas rare de voir les grand parents, les parents et les enfants sortir ensemble ce qui est rendu possible pour tout le monde grâce au prix attractif. Il y a les animaux bien sur, mais aussi beaucoup d’aires de jeu pour les enfants et des endroits charmants pour se réunir, pour se restaurer, s’asseoir et pique-niquer.
Crée en 1888, c’est un des plus vieux zoo d’Europe. Le parc est immense (36 hectares) très arboré, bien fleuri? agréable avec une perspective sur le mont Vitocha. Aujourd’hui, un nouvel espace est en train d’être aménagé pour accueillir les singes.
Elles sont chez elles…
Respecte-moi
mardi, avril 2nd, 2019Regarde-moi
Respecte-moi
…..
Je suis le coquelicot
à la robe de soie rouge
….
Regarde-moi
Respecte-moi
……..
Je suis le papaver roehas
Je suis l’œuvre du créateur
Tout comme la viola odorata
Tout comme l’oxalis acetocella
Tout comme la stellaria media
……..
Regarde-moi
Respecte-moi
……
je suis le tilia cardata
Je suis le prunus persica
Je sui l’arbre des bois
…..
Regarde-moi
Respecte-moi
……
Je suis l’oiseau
Qui chante tout là haut
Je suis l’œuvre du grand créateur
….
Regarde-moi
Respecte-moi
….
Je suis l’insecte
Qui butine de fleur à fleur
J’ai le droit d’être là
Je suis l’œuvre du grand créateur
……
Regarde-moi
Respecte-moi
…..
Je suis l’eau
Je suis le ruisseau
Je suis la rivière
Je suis la mer
…..
Ressens-moi
Respire-moi
Respecte-moi
Je suis l’air frais
Je suis l’œuvre du grand créateur
….
Ressens-moi
Respecte-moi
Je suis la terre nourricière
Je suis là pour toi
Je suis l’œuvre du grand créateur
Brigitte Gladys
La place….
vendredi, mars 29th, 2019La place Clémenceau
Jusqu’en 1768,( date de la vente du terrain) les cordeliers (ou franciscains) possédaient un vaste enclos non loin de l’église Saint Louis et près de leur couvent. Ils nommaient cet endroit l’esplanade. C’était un jardin clos de murs et plantés d’agrumes de toutes espèces.
Après son achat,
la place fut alors appelée place de la rade, car à de cet endroit on pouvait voir la mer et la rade d’Hyères bien sur. De 1810 à 1812 la place de la rade fait l’objet de travaux . Un escalier crée la jonction avec la place Napoléon (aujourd’hui place de la république) qui se situe devant l’Eglise Saint Louis.
En 1860, à nouveau des travaux sont réalisés, la place de la rade est nivelée . Des égouts sont construits et en 1922 elle prend alors le nom de place Clémenceau en l’honneur du grand homme politique, on la nomme aussi place de marbre car, elle est pavée de marbre.
De 1987 à 1990 elle fait l’objet d’un réaménagement total avec la création d’un parking souterrain.
Aujourd’hui, cette grande place (la plus grande place du département du Var) occupe un emplacement central dans la ville. Elle fait le lien entre la vieille ville et la nouvelle. Elle est plus belle que jamais. Elle vient d’avoir des aménagements et un lifting (un genre de réparation urbaine) qui a duré presque 2 ans, conçu par l’architecte du musée Mucem. Aujourd’hui, l’appellation Place Clémenceau lui sied bien mieux, que la dénomination un peu froide de » place de marbre »
Elle est devenue une belle place provençale ombragée. Elle est accueillante. Plusieurs centaines de végétaux ont été plantés dans le jardin attenant sur la place et ses abords. Les oiseaux et les insectes vont être à la fête. Les bigaradiers vont se parer de fleurs parfumées puis de fruits-mandala orange pendant l’hiver et même plus. De quoi nous donner du baume au cœur. La couleur orange est la couleur de la bonne humeur et vous savez ce que je pense de la sphère….
Les ombrières qui lui faisaient défaut apportent aujourd’hui originalité et fraîcheur.
La magnifique rosace centrale (inspirée de celle de la place del campidoglio oeuvre de Michel-ange) donne une structure centrale bien campée. Elle rayonne, pacifie, unifie et met en liaison toutes les parties de la ville, le nord comme le sud , l’est comme l’ouest , les jardins, tout comme l’ancienne et la nouvelle ville et met en valeur la fontaine qui rafraîchit la place . En plus, elle lui confère un petit air d’Italie.
J’aime aussi son côté populaire et enchanteur, le manège circulaire va attirer et réjouir un grand nombre d’enfants.La sculpture du Duc d’Anjou (frère de saint Louis) n’a pas été oubliée, elle a juste changé de place. Elle regarde du côté de la place et de la mer et c’est tout aussi bien quand on connaît l’histoire du Duc d’Anjou.Demain c’est le grand jour, demain c’est le jour de l’inauguration et la place sera fin prête.
*Aujourd’hui 11 octobre 2020, ce bel arbre que l’on voit au fond , ce grand ginkgo biloba de 150 ans d’age a failli mourir par marque d’ anticipation. Mettre de grosses dalles de béton sur une place et les nettoyer à l’acide sans penser aux dégâts que cela pourrait causer à la végétation environnante c’est une grossière erreur. Les dalles se situent à à peine 3 mètres et les racines d’un tel arbre peuvent avoir un rayon de 20 mètres… Ce bel arbre qui a vu plusieurs guerres est rester sans feuille pendant plus d’un an. Aujourd’hui, alors qu’il se murmurait que la mairie allait le faire abattre, des pousses repartent un peu partout sur le tronc et les branches. A-t-il su ce qui se tramait ? Dans un ultime sursaut pour survivre a-t-il fait une montée de sève, c’est étrange, nous sommes en automne et pas au printemps, en automne, en général, cet arbre se pare d’écus d’or et ses feuilles tombent…
Ps : Que cela soit pour ceci ou pour cela le maître mot c’est l’anticipation, prévoir en amont ce qui pourrait se passer. Notre société dite de progrès s’en fiche et nous risquons bel et bien d’aller vers une énorme catastrophe qui impacterait même l’avenir de notre planète *
Jour d’inauguration : C’est la fête
La place est noire de monde
Regardez
samedi, mars 2nd, 2019Regardez-
Respirez-
L’air est enchanté
De l’autre côté de février,
Baignés de lumière,
Délicieusement parfumés,
Merveilleusement étoilés,
Fleurissent les amandiers.
=Jour heureux=
-Souriez
Brigitte Gladys
Souris, c’est ton anniversaire, ….La vie est belle. Le passé est passé et l’avenir reste à venir. Aujourd’hui, c’est un nouveau jour, il est unique, le présent est un cadeau qui passe vite alors profites en bien****
Pour moi le bonheur, c’est d’être dans l’instant tout en étant relié au centre de soi et connecté à la beauté de la nature
Couleur mimosa
lundi, février 11th, 2019Là,
La nature révèle sa beauté
-Pompons jaunes-
De Nice à la Ciotat
Plein feu sur les mimosas
Chariots de joie
-Pompons jaunes-
Là,
Les collines se sont illuminées
et les abeilles bombinent déjà
-Pompons jaunes-
Brigitte Gladys
Ps : Vous avez compris, j’aime les mimosas et leur couleur jaune vibrante et tonique, j’aime leurs fleurs en forme de petits pompons duveteux.
Hier est passé, comme ce mot l’indique, et le passé ne reviendra pas. Se concentrer sur le moment présent quand il est beau apporte la sérénité. La nature, en ce qui me concerne, me procure des émotions, des vibrations délicieuses et des instants de bonheur.
Regarder, ressentir, respirer, c’est une manière vivante de vivre.
Ps : Si la liberté avait une couleur, ce serait le jaune, car, c’est la couleur qui a le plus d’éclat, c’est une couleur que l’on ne peut pas mettre en cage, elle s’évade vite. Sur un tableau, elle s’échappe du cadre. Je l’aime pour le visuel, sa chaleur, sa générosité, la joie qu’elle procure…. mais, je l’aime aussi pour sa liberté de rayonner…..
*A fleur de pierre*
mercredi, novembre 28th, 2018Jardin de fleurs de légumes et d’arbres fruitiers où les oiseaux viennent chanter.
3- Enfin le dernier et non le moindre : Un jardin associatif citoyen et exemplaire .
Il est très accueillant…C’est mon coup de cœur.
Il se trouve dans le vallon des eaux chaudes. C’est un espace solidaire écologique et pédagogique fait d’une multitude de petites parcelles-jardins cultivées par des Dignois qui aiment et respectent la terre.
J’apprécie tout particulièrement l’esprit de cette association qui nous offre ce coin de terre cultivé d’une belle manière. Elle nous donne à voir un jardin multiple qui a du sens . Un lieu de rencontre de partage et de socialisation.
Les nombreux panneaux ludiques et éducatifs nous sensibilisent et nous informent tout en nous rendant responsables.
Cette belle initiative est à reprendre sans modération, elle peut mener à des P.A.E (des projets d’action pédagogiques) avec les écoles de la région sur le thème de : ( la protection de l’environnement, la flore, la faune, la biodiversité ….)
Refuge LPO pas encore ?…. Ces jardins offrent tous les critères pour l’être ? Alors à demain peut être…..
Le 3 décembre 2018
En regard des récents événements qui chamboulent la France, j’apporte mon témoignage.
Quand j’étais enfant, il y avait encore des coquelicots, des bleuets, des glaïeuls sauvages dans les champs.
Le remembrement qui a supprimé (haies, ruisselets…) au profit de l’agriculture extensive (produire plus pour gagner plus et dépenser plus et c’est sans fin…) n’avait pas encore eu lieu. J’allais à l’école à bicyclette comme tous les enfants du voisinage. Le vélo était déposé devant l’école, c’était un vélo simple, le mien était d’occasion. Quand on sortait de classes, les vélos étaient toujours là, aucun n’avait été volé. Je faisais 12 kms par jour car, à midi je revenais manger à la maison. Qu’il pleuve qu’il vente où qu’il gèle, j’allais à l’école. Le seul moment où je n’allais pas à l’école, c’était au printemps, au moment de la fonte des neiges dans les Pyrénées. Tous les ans à cette époque la rivière débordait et l’école était de l’autre côté. Les anciens avaient été assez sages en construisant la maison à plus de 400 mètres de ses berges. Ils avaient bien calculé, l’eau s’approchait mais, n’atteignait jamais la construction.
Mais où est donc passé cette sagesse ?
Aujourd’hui, les enfants prennent rarement le vélo pour aller à l’école et ils marchent de moins en moins, les parents les amènent souvent à l’école en voiture et ceci tous les jours. il y a parfois 3 voitures par foyer. La voiture c’est utile, c’est la facilité aussi, mais, 3 voitures par foyer c’est trop. Une voiture, cela pollue et cela consomme aussi.
La question que l’on doit se poser c’est : Comment en sommes nous venus là ? A qui la faute ?
Cette évolution s’est passée sur les cinquante dernières années. Le soit disant progrès c’est quoi ?
Mon père aimait la terre, il la cultivait avec respect. Bien que je déteste les étiquettes, je dirais qu’il cultivait bio avant l’heure. Ce qu’il cultivait c’était sain et bon à manger.
Je trouve cela navrant que l’on soit obligé d’acheter avec le label bio et plus cher pour bien manger et le reste alors, c’est de la nourriture pour les pauvres et les cochons ? Tout devait être cultivé de la bonne manière sans pesticide, avec des engrais naturels et sans OGM….
Bien qu’ayant fait des études, je n’ai pas l’impression de vivre mieux que mes parents, tout est devenu très cher et c’est une escalade sans fin…
La photo est actuelle, le remembrement a eu lieu. Mon père lui, faisait de la polyculture et non de la monoculture comme le nouveau propriétaire qui axe son exploitation sur le rendement optimal de maïs. Comme vous pouvez le constater, il n’y a plus de haies et les petites fleurs des champs ont disparu, Quant aux oiseaux ….. ?
A peu près au même endroit, mon frère préféré Edouard dans le champs de Tabac,au loin , la maison.
Mon frère Edouard (aujourd’hui disparu) sa chienne et moi même avec mon chat devant le potager, derrière la porte en bois. Légumes et fleurs étaient mélangés.
Devant la très haute gerbière juste avant le dépiquage
Dans ces campagnes, il y avait le sens de l’entraide. Pour les moissons, le dépiquage, les vendanges et la mise en manoques du tabac ( eh oui ! A l’époque, l’état incitait les agriculteurs à cultiver du tabac) On allait à tour de rôle chez les uns et les autres donner un coup de main. Les pompiers étaient tous des volontaires ( le garagiste, le restaurateur, mon père parfois avec son tracteur pour dégager un véhicule). On se connaissait, on se soutenait.
Quand je suis née, mon père a pris ses parents en charge, ils n’avaient pas de retraite. C’est ainsi que mes grands parents se sont occupés de moi.
Nous sommes tous des enfants de la terre et nous devons la cultiver avec amour et respect comme si c’était un grand jardin et tout le reste doit être rapidement repensé pour que notre planète continue à exister, car, pour l’instant il n’y en a pas de rechange.
Il n’y a pas que les voitures au diesel qui polluent, que pensez des avions et de ces bateaux de croisière méchamment « dieselivores » qui continuent à turbiner même à l’arrêt dans un port ?
Le jardin des cordeliers
mercredi, novembre 21st, 20182-Un jardin de ville : Tout près de la belle bâtisse du collège Maria Borrely ( date de création :1911) se trouve le poétique jardin des Cordeliers. On le nomme aussi jardin botanique.
Il est situé sur un lieu chargé d’histoire à l’emplacement du couvent des Cordeliers, démoli depuis longtemps .
l’harmonie des massifs végétaux et leurs délicieuses palettes florales parfumées sont un enchantement pour la vue et l’odorat.
Allées de buis centenaires, carrés bien ordonnancés, plantes ornementales à feuilles et à fleurs, arbres fruitiers se mêlent et s’entremêlent pour notre plus grand bonheur.
Ses origines sont très anciennes, elles remonteraient au 13 ème siècle, vers 1230, date de la création du couvent.
Il est situé non loin du Musée Gassendi, son accès facile.
Les délicates et très lumineuses anémones du japon reines de l’automne, éclairent les allées.
De la fleur d’aster mauve à la rose rose . les couleurs s’accordent merveilleusement. C’est un jardin délicieux qui ravirait plus d’un aquarelliste.
Un lieu offert pour le bien être du cœur et de l’esprit, s’alléger, s’apaiser, un lieu qui vous chouchoute et un lieu à chouchouter précieusement.
Vous serez toujours bien accueilli par le maître des lieux Mistigris