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C’est un bon début

lundi, janvier 28th, 2019

C’est un bon début

C’est un bon début, les choses bougent enfin . Peut être que très bientôt des filtres dépollueurs seront posés directement sur les cheminées des ferries et de tous les gros bateaux de croisières ou autres. là, ce serait une grande avancée .

Ce matin là, j’ai d’abord cru que c’était un poisson d’avril mais non c’est bien vrai et c’est une première nous espérons que cette merveilleuse initiative fasse des émules…

Article daté du samedi 30 mars 2019

Un bien pour un mal

lundi, décembre 17th, 2018

Celui qui a connu la lumière peut endurer la pénombre, celui qui a connu la liberté peut endurer la privation de liberté. Ce qui fait avancer c’est l’espoir de les retrouver.

Jusqu’à l’âge de 18 ans je n’ai pas voyagé bien loin. D’abord, je suis allée de la campagne à l’école et puis de la campagne à la pension, en ville, pendant de nombreuses années.

La pension, c’était un espace clos, on ne sortait que le mercredi, en uniforme, pour une promenade surveillée au parc. A l’intérieur, la discipline était stricte. 

Mais, dans les murs de la pension il y avait une bibliothèque et une multitude de livres qui faisaient mon bonheur. J’avais accès à la culture et cela me plaisait. Grace à eux, je voyageais dans le monde en me promettant qu’un jour, ces voyages, je les ferais pour de bon. Il y avait aussi, quelque chose d’autre qui me plaisait, c’était le chauffage avec des radiateurs dans chaque salle et pour quelqu’un de frileux  qui avait connu les pièces glaciales de la maison de campagne avec des vitres givrées par le froid au petit matin, c’était un luxe . Cela m’a permis, entre autre, de supporter ce lieu fermé.

Quand j’ai quitté la pension j’ai de nouveau expérimenté la liberté et j’ai commencé à voyager dans le monde et le monde m’a fait voyager….

Aujourd’hui, j’aime plus que tout me promener à travers la France qui a des paysages d’une richesse infinie. Chaque département a son histoire et sa couleur et même sa manière de vivre. Ce sont ces découvertes là qui me plaisent.

Pour terminer, la région de Dignes en trois photos.

Bleu lavande

couleur orange

Le marché du samedi

*A fleur de pierre*

mercredi, novembre 28th, 2018

 Jardin de fleurs de légumes et d’arbres fruitiers où les oiseaux viennent chanter. 

3- Enfin le dernier et non le moindre : Un jardin associatif citoyen et exemplaire .

Il est très accueillant…C’est mon coup de cœur.

Il se trouve dans le vallon des eaux chaudes. C’est un espace solidaire  écologique et pédagogique fait d’une multitude de petites parcelles-jardins cultivées par des Dignois qui aiment et respectent la terre.

J’apprécie tout particulièrement l’esprit de cette association qui nous offre ce coin de terre cultivé d’une belle manière. Elle nous donne à voir un jardin multiple qui a du sens . Un lieu de rencontre de partage et de socialisation.

Les nombreux panneaux ludiques et éducatifs nous sensibilisent et nous informent tout en nous rendant responsables.

Cette belle initiative est à reprendre sans modération, elle peut mener à des P.A.E (des projets d’action pédagogiques) avec les écoles de la région sur le thème  de : ( la protection de l’environnement, la flore, la faune, la biodiversité ….)

Refuge LPO pas encore ?…. Ces jardins offrent tous les critères pour l’être ? Alors à demain peut être…..

Le 3 décembre 2018

En regard des récents événements qui chamboulent la France, j’apporte mon témoignage.

Quand j’étais enfant, il y avait encore des coquelicots, des bleuets, des glaïeuls sauvages dans les champs.

Le remembrement qui a supprimé (haies, ruisselets…) au profit de l’agriculture extensive (produire plus pour gagner plus et dépenser plus et c’est sans fin…) n’avait pas encore eu lieu. J’allais  à l’école à bicyclette comme tous les enfants du voisinage.  Le vélo était déposé devant l’école, c’était un vélo simple, le mien était d’occasion. Quand on sortait de classes, les vélos étaient toujours là, aucun n’avait été volé.  Je faisais 12 kms par jour car, à midi je revenais manger à la maison. Qu’il pleuve qu’il vente où qu’il gèle, j’allais à l’école. Le seul moment où je n’allais pas à l’école, c’était au printemps, au moment de la fonte des neiges dans les Pyrénées. Tous les ans à cette époque la rivière débordait et l’école était de l’autre côté. Les anciens avaient été assez sages en construisant la maison à plus de 400 mètres de ses berges. Ils avaient bien calculé, l’eau s’approchait mais, n’atteignait jamais la construction.

Mais où est donc passé cette sagesse ?

Aujourd’hui, les enfants prennent rarement le vélo pour aller à l’école et ils marchent de moins en moins, les parents les amènent souvent à l’école en voiture et ceci tous les jours. il y a parfois 3 voitures par foyer. La voiture c’est utile, c’est la facilité aussi, mais, 3 voitures par foyer c’est trop. Une voiture, cela pollue et cela consomme aussi.

La question que l’on doit se poser c’est : Comment en sommes nous venus là ? A qui la faute ?

Cette évolution s’est passée sur les cinquante dernières années. Le soit disant progrès c’est quoi ?

Mon père aimait la terre, il la cultivait avec respect. Bien que je déteste les étiquettes, je dirais qu’il cultivait bio avant l’heure. Ce qu’il cultivait c’était sain et bon à manger.

Je trouve cela navrant que l’on soit obligé d’acheter avec le label bio et plus cher pour bien manger et le reste alors, c’est de la nourriture pour les pauvres et les cochons ? Tout devait être cultivé de la bonne manière sans pesticide, avec des engrais naturels et sans OGM….

Bien qu’ayant fait des études, je n’ai pas l’impression de vivre mieux que mes parents, tout est devenu très cher et c’est une escalade sans fin…

La photo est actuelle, le remembrement a eu lieu. Mon père lui, faisait de la polyculture et non de la monoculture comme le nouveau propriétaire qui axe son exploitation sur le rendement optimal de maïs. Comme vous pouvez le constater, il n’y a plus de haies et les petites fleurs des champs ont disparu, Quant aux oiseaux ….. ?

A peu près au même endroit, mon frère préféré Edouard dans le champs de Tabac,au loin , la maison.

   

Mon frère Edouard (aujourd’hui disparu)  sa chienne et moi même avec mon chat devant le potager, derrière la porte en bois.  Légumes et fleurs étaient mélangés.

   

Devant la très haute gerbière juste avant le dépiquage

Grand-mère : Nonna  Eufemia

Dans ces campagnes, il y avait le sens de l’entraide. Pour les moissons, le dépiquage, les vendanges et la mise en manoques du tabac ( eh oui ! A l’époque, l’état incitait les agriculteurs à cultiver du tabac) On allait à tour de rôle chez les uns et les autres donner un coup de main. Les pompiers étaient tous des volontaires ( le garagiste, le restaurateur, mon père parfois avec son tracteur pour dégager un véhicule). On se connaissait, on se soutenait.

Quand je suis née, mon père a pris ses parents en charge, ils n’avaient pas de retraite. C’est ainsi que mes grands parents se sont occupés de moi.

Nous sommes tous des enfants de la terre et nous devons la cultiver avec amour et respect comme si c’était un grand jardin et tout le reste doit être rapidement  repensé pour que notre planète continue à exister, car, pour l’instant il n’y en a pas de rechange.

Il n’y a pas que les voitures au diesel qui polluent, que pensez des avions et de ces bateaux de croisière méchamment « dieselivores » qui continuent à turbiner même à l’arrêt dans un port ?

Monde de merveilles

mercredi, octobre 31st, 2018

 Cette dalle aux ammonites géantes  contient 1553coquilles de fossiles  datant de plus de 200 millions d’années.

Elles composent cette dalle de calcaire noir située sur d’anciens fonds marins. Le  site est exceptionnel, voire unique au monde.

 

Les étoiles de Saint Vincent  ***mandala-étoile à 5 branches***

Etoile de Saint Vincent

 Un magnifique petit fossile (7 millimètres<) aussi ancien que les ammonites.

Il m’a été offert par un aimable agriculteur dignois, trouvé dans un de ses champs.

Nul doute que l’illustre savant, philosophe, astronome , mathématicien et théologien Pierre Gassendi- vivant à la fin de la renaissance- nul doute qu’au court de ses multiple promenades sur les collines avoisinants  Dignes, que celui ci,  qui scrutait si souvent le  ciel   se soit interrogé sur l’origine de ces  petites étoiles qui fleurissaient sur son chemin.

L’illustre personnage dignois est honoré par sa ville.

Du côté de Dignes les bains….

jeudi, octobre 25th, 2018

Mes pauvres articulations me faisant souffrir, en hâte, j’ai cherché une station thermale qui pourrait m’accueillir.  La station thermale de Dignes les bains pouvait me prendre rapidement, celle ci en valant une autre…

C’est ainsi que je mets à l’honneur cette ville et ce merveilleux coin de France que je ne connaissais pas.

   

Dignes les bains se situe à environ 6OOm d’altitude suivant l’emplacement.

 

la rivière Bléone entrant dans la ville.

Ce territoire possède une très grande biodiversité autant animale que végétale et une extraordinaire richesse géologique (il est protégé par l’UNESCO)

Il nous parle  des mémoires profonde notre terre. Ici, nous sommes au cœur de son histoire.

Nous sommes liés à la terre qui est le lien en chacun de nous, nous sommes son passé, nous somme son présent, nous sommes son futur.

Comme un vieil arbre garde en son tronc des cercles de croissance qui nous renseignent sur  son âge, la terre conserve la mémoire de son passé inscrit dans ses profondeurs et sur sa surface, dans les plis du paysage, dans les roches et les fossiles .

Nous sommes les témoins et nous sommes les gardiens de la terre.

Mandalas fleurs de sel

vendredi, septembre 21st, 2018

Petit rappel : Le mot mandala vient du mot sanskrit qui signifie cercle ou circonférence et par extension sphère . On retrouve cette forme dans toutes les cultures.

Elle est présente constamment dans la nature (fleurs, plantes, graines) . Elle brille dans le cosmos (planètes, étoiles…)

Elle est présente dans le corps humain ( yeux, nombril, seins)

On la voit son influence tout autour de nous dans les architectures et dans les objets du quotidien .

 

 

 

-Support papier aquarelle, encres, pastels et cristaux de sel qui accrochent la lumière.

La  forme parfaite du cercle et la couleur verte associées sont un merveilleux support de méditation et de con-centre-ation La couleur verte correspond au chakra du cœur et le renforce. Elle harmonise l’énergie du cœur. Notre cœur reçoit notre sang qu’il nous  redistribue de la naissance jusqu’à la mort. C’est le chakra de l’amour inconditionnel.

Donner et recevoir, recevoir et donner sans aucune condition permet la continuité de la vie.

La forme circulaire et le vert de la forêt, le vert de la chlorophylle, le vert de l’émeraude ou de la chrysocolle, le vert de l’océan, le vert de l’argile, pour se sentir bien …

Méditez sur ce mandala vert , respirez du vert, vivez cette couleur et votre corps se remplira de bien être et de sensations agréables.

 

La souffrance, un lien …

dimanche, août 19th, 2018

La souffrance est un lien intime qui vous veut du mal.

Nous avons tous été confronté à elle ne serait ce que par le traumatisme de la naissance. Ce traumatisme est souvent minimisé par la douceur et l’amour des bras des parents qui vous accueillent. Parfois, il est empiré, si vous n’êtes pas un enfant désiré et si l’on vous rejette.

Quand je suis arrivée ma mère ne voulait pas d’enfant, (sans doute avait elle ses raisons) elle a essayé de me faire passer sans succès, cela n’a pas marché. J’étais accroché à la vie et je voulais la vivre, même si le prix à payer en serait le prix fort.

 

J’ai été la dernière à lui dire adieu, sans doute m’attendait elle ?  avait elle besoin de mon pardon pour partir ?

Un petit enfant aime sa mère et attend de l’amour d’elle.

C’est très difficile de pardonner à quelqu’un qui vous a fait beaucoup de mal. Je lui est pardonné. Je l’ai appelé maman… Elle s’est éteinte peu de temps après.

Son visage s’est détendue, je sais qu’elle était en paix.

 

Son manque d’affection, sa maltraitance ont été comme une marque de fabrique. Même si, dans ma malchance, j’ai eu le bonheur d’être entourée et aimée par mes grands parents jusqu’à l’âge de six ans, J’ai été très tôt conditionnée à la souffrance, et au rejet.

Au cours de ma vie, j’ai manqué de confiance en moi. J’ai connu la dépression, l’anorexie et de nombreux abandons sentimentaux et pour terminer ce terrible accident accompagné d’atroces souffrance. J’ai du réapprendre à écrire à marcher. J’ai eu plusieurs opérations et suis restée hospitalisée pendant des mois. J’en conserve toujours des séquelles et quand le vent du Nord souffle, je préfère ne pas sortir car, il ravive mes douleurs.

Je ne me plains presque jamais et j’affiche la plupart du temps un large sourire en guise de bouclier protecteur.

Je n’ai pas reproduit le schéma de ma mère. J’ai donné beaucoup d’affection à mes deux enfants qui me le rendent bien.

J’ai aimé le métier que j’ai exercé que j’ai exercé avec passion.  Les élèves que j’ai eu, je les ai aimé  comme si c’était mes enfants. J’ai constaté , que beaucoup manquaient d’écoute et d’affection qu’ils viennent d’un milieu ou d’un autre.

J’ai été appréciée par eux et j’ai été heureuse dans mon travail.

 

Quelques extraits sur la douleur tirés de mon roman « Un éternel soleil »

-Obsédante, insupportable, rebelle la douleur siégeait toujours dans mon corps abîmé-

-J’étais figée sur le dos, incapable de me déplacer d’un millimètre, rongée par une douleur lancinante, sourde, implacable-

-Silence meurtri, silence de mort, paupières closes, bouche fermée…

Tiens toi tranquille ma douleur, tiens toi tranquille, tiens toi à distance, ne soit pas noire, lourde, intraitable et cruelle…

-Ce sont des brûlures, parfois des morsures, parfois des déchirures ou bien de véritables décharges électriques.

Celui qui connaît la douleur profonde, la douleur récurrente (physique ou psychique) connaît aussi la solitude la vraie solitude.

La douleur ce n’est pas quelque chose que l’on va partager en famille, ce n’est pas un gâteau, personne n’en veut.

On ne peut pas non plus la partager avec ses amis, cela fait fuir et cela n’intéresse personne.

On peut bien sur trouver l’oreille compatissante de professionnels de santé mais, une fois que l’on a payé et fermé la porte du cabinet, à nouveau, on se retrouve seul face à elle.

Heureusement, il y a toutes sortes de techniques pour la tenir à distance et souffrir moins. Depuis que j’ai commencé ce blog mandalas et relaxation, j’en ai abordé plusieurs, ne serait ce que l’écriture  (…………….) Elles sont toutes bien, elles calment à des niveaux différents.

Aujourd’hui, pour moi celles qui réussissent le mieux à couper le cercle vicieux de la souffrance, ne serait que pour un temps, ce serait la méditation avec comme support un mandala, la méditation en pleine conscience en accord avec la merveilleuse nature et surtout l’auto hypnose.

Face à la douleur qui vous revient comme un boomerang, face à ce lien intime qui vous veut du mal on est seul mais, on peut travailler certaines techniques pour l’ignorer et la transformer en mieux.

Et c’est ainsi que je ne cesse de me dire que la vie est merveilleuse, que la nature est admirable, que c’est un cadeau et qu’elle vaut la peine d’être vécue.

 

Les choses simples de la vie sont parmi les plus belles.

Apus apus, les martinets !

samedi, juillet 14th, 2018

Apus apus, les martinets !

Fin  printemps

Début juillet

Cris vibrants

 

Apus apus les martinets !

En bandes joyeuses et serrées,

Rondes sonores dans le ciel

Leur grand bec ouvert,

Ivres d’air et de lumière

Ils déploient leurs ailes.

Acrobates rapides et agiles,

Ils s’élancent-dansent-glissent

Virevoltent-vrillent-frémissent

Font des boucles dans le bleu

Voltigent et planent——–

—————————-

Apus apus les martinets !

-Habileté, agilité, fluidité-

Piquent jusqu’au lac,

Boivent une gorgée

Remontent en flèche

-Hourvari strident-

 

Le pont est remplie de pépiements

°Aux nids cachés°

Les petits grandissent doucement,

Ils sont bientôt fin prêts

pour la grande traversée

qu’ils effectueront sans les aînés.

Apus apus les martinets !

 

Brigitte Gladys

 

Les martinets sont des oiseaux merveilleux.

Ils sont là depuis la nuit des temps. C’est une espèce protégée car le nombre de martinets séjournant en France a diminué de moitié.

Loi du 10 juillet 1976, art L 411-1

Apus apus signifie sans pied sans pied, en fait, ils en ont de petits avec des griffes qui leur servent à s’accrocher aux parois des murs. Sinon ce sont des  oiseaux  qui passent leur vie, dans le ciel, en volant, ils peuvent monter jus-qu’ à 3000 mètres de haut  et parcourir 800 km par jour.

Avec des pointes de 200 km/h, ils sont parmi les animaux les plus rapide du monde. Ils approchent de leur nid à plus de 60 km/h

Nos martinets ne construisent pas de nids extérieurs comme les hirondelles. Ils nichent sous les tuiles et dans la moindre faille des vieux bâtiments. Ils ont besoin de hauteur pour se lancer ( s’ils tombent, ils ont beaucoup de mal à repartir)

Quelques conseils avisés sur ces sites :

https://www.mauersegler.com/found/?L=fr

https://www.mauersegler.com/swift/?L=fr

Quand les martinets reviennent d’Afrique, ils retournent à l’emplacement de leur ancien nid pour  y élever une nouvelle famille, si celui ci a disparu, ils sont sans-abri.

NE DÉTRUISEZ PAS LES NIDS DE MARTINETS.

Laissez les nids existants intacts.

Dire à la LPO où vous voyez des nids de martinets.

Les martinets ne salissent pas les façades.

Toute perturbation ou destruction des nids constitue un délit sanctionné par la loi : 15000 euros et/ou 1 an de prison.

Même si vous ne les remarquez pas, ils vous accompagnent toute votre vie.

J’ai une affection toute particulière pour eux.

Suite à mon  grave accident à Toulouse, j’ai du rester hospitalisée très longtemps à plat dos sans bouger. Je ne les voyais pas mais, j’entendais leurs cris joyeux animer le ciel, cela me mettait du baume au cœur. J’avais tout le temps de les imaginer, libre, en train de virevolter dans les airs et cela m’apportait du bonheur.

Aujourd’hui, je suis chanceuse. J’ai  une famille de martinets qui a élu domicile juste en face et à la hauteur de mon appartement. C’est un spectacle merveilleux  de les voir évoluer avec aisance.

j’ai de la chance et vous aussi si vous prenez le temps de les observer.

Hymne à la nature

lundi, avril 2nd, 2018

J’aime la scintillante nature,

la forêt baignée d’air pur

et bénie de rosée.

J’aime les grands arbres

à la puissante ramure

bruissants d’oiseaux.

Gonflés de sève ,

ils s’élèvent vers le ciel,

caressant le soleil,

les pétillantes étoiles

et la lune qui resplendit

la nuit, tout la haut.

J’aime les délicieuses fées

cachées sous les lichens.

J’aime  aussi les dryades

qui dansent sur la mousse

tout autour des grands chênes,

les nymphes des cascades

et, sur le dos des champignons,

les petits lutins assis en rond.

J’aime encore les papillons

qui palpitent dans les près

et les  libellules irisées

qui voltigent

de tige en tige….

«  » » » » » » » » » » » » » » » » »

Et vous, qui aimez la  forêt,

la florissante nature et

son  monde enchanté,

que vous soyez

d’ici, ou d’ailleurs

Je vous aime aussi.

°°°°°°°°°°°°°°°°°°

 

Brigitte Gladys

 

Fleurs de murailles…

mardi, juillet 5th, 2016

A l’ombre des murailles d’Hysaria fleurissent les gueulent de loup et les coquelicots

Bulgarie mai 2016 476        Bulgarie mai 2016 483

A Hysaria, les vestiges sont très nombreux et particulièrement bien conservés sans doute parce que les romains sont arrivés tardivement sur ce lieu et que peut être que contrairement à Plovdiv, la ville n’a pas été complètement rasée au moment des différentes invasions barbares. Les envahisseurs ont ils composés avec les romains ? Les vestiges sont donc partout très présents . Ils font partis de la ville.

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Bulgarie mai 2016 434L’Europe participe à la restauration de  ce lieu magnifique.

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Bulgarie mai 2016 485

Les belles promenades le long des vestiges sont nombreuses et très agréables, Hysaria est vraiment une ville où il fait bon vivre où le passé et le présent se marient harmonieusement.

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Bulgarie mai 2016 447