J’ai ouvert la porte sur les collines rutilantes de soleil.
Juste à droite, à deux pas, la laitue sauvage, ronde, belle et verte m’a offert son coeur. On dit qu’il se mange et que c’est bon.
Un groupe de joyeux randonneurs est passé, je les ai suivis, pas pour longtemps car, mes qualités de randonneuse avoisinent aujourd’hui le zéro pointé.
Aussi au premier détour du chemin, je me suis discrètement éclipsée et je suis partie à la recherche de la laitue sauvage, si vous ne me voyez pas revenir, c’est que je me suis perdue ou retrouvée dans le coeur d’une salade ou d’une fleur….
C’est une peinture sur papier, le tigre est peint d’une façon impressionnante son regard se porte autant en face qu’à droite qu’à gauche.
C’est une très belle oeuvre qui a traversé 400ans sans prendre une ride.
La seule chose qui m’intrigue, c’est la perspective qui me paraît inversée, seul le peindre sait pourquoi il a peint le tigre de cette manière.
Toujours une peinture délicate et précise de la nature.
Ces peintures sont vaiment magnifiques.
Au premier plan un vieux pin puis au second plan des fleurs et des oiseaux et au troisième plan une montagne.
Cette peinture est réalisée sur papier.
La seconde peinture représente encore la nature : premier plan des bambous remarquablement stylisés à gauche, à droite, des fleurs puis un tigre rugissant et en second plan un léopard avec son petit.
Au troisième plan une montage qui donne de la profondeur au tableau.
Le tout peint sur des feuilles d’or.