Samedi après-midi gris et pluvieux peu d’étudiants dans le quartier latin…
Archive for the ‘Voyages’ Category
A deux pas de la rue Monsieur le Prince se dresse La Sorbonne à la façade blanche baroque et imposante.
mardi, avril 3rd, 2012L’arrivée au salon du livre ou bien le départ ou bien le départ ?
mercredi, mars 28th, 2012Le clocher blanc et illuminé de l’église des Accoules
vendredi, février 24th, 2012Les églises et les clochers sont mis à l’honneur : Eglise Saint Ferréol -Les Augustins ***
jeudi, février 23rd, 2012J’ai toujours beaucoup aimé cette église blanche (début de la construction 1447) chargée d’histoire . Elle cache des trésors.
Elle se situe au fond du vieux port quai des Belges. Ce soir là elle avait mis sa parure de lumière, il était bien difficile de ne pas la remarquer.
Le merveilleux clocher illuminé de l’église Saint Ferréol veille sur le vieux port.
Le vieux port ce soir là…
mercredi, janvier 25th, 2012Ce soir là, il faisait doux, le coucher de soleil était merveilleux, le port était calme.
En regardant la mer et en laissant aller son imagination on pouvait imaginer l’arrivée, il y a 2600ans des marins phocéens venus de Phocea en Asie Mineure. Ils furent séduits par le lieu et en firent un abri maritime. Ils s’installèrent sur la rive Nord, l’actuel quartier du panier .
La région était peuplée de celto-ligures. Nul doute q’ils y trouvèrent des compagnes pour fonder une famille. C’est ainsi que Massalia comptoir grec vit le jour.
L’ancienne petite maison dans la prairie.La maison sans livre.
mardi, novembre 8th, 2011Autrefois on pratiquait la polyculture sur ces terres. Il y avait beaucoup d’arbres(saule, vergne, ormeau, peuplier) aujourd’hui presque tous les arbres ont été arrachés et la prairie a disparu
Le propriétaire actuel pratique essentiellement la culture de maïs.
J’ai beau chercher une fleur, je n’en voit aucune. Peut être que ce n’est pas la saison ou peut être qu’il y en a plu.
Il n’y avait pas de livre dans cette maison. Le point positif de cette vie là c’était les rencontres entre voisins à l’occasion des vendanges, des moissons et des travaux d’hiver. Cela se terminait par une tablée de 20 personnes autour d’un gros repas très animé où l’on parlait surtout de la vie à la campagne . La transmission des savoirs était orale.
L’arrivée des grosses machines et de la monoculture a petit à petit sonner le glas de ces rencontres et de cet entre-aide.