Archive for août, 2012

Renouveler son énergie au centre d’un lotus bleu…. Aquarelle d’un nymphéa bleu.

lundi, août 27th, 2012

J’ai peins cette aquarelle en pensant à un lotus ou a un nymphéa bleu admiré dans une serre du parc de La Doua à Lyon. J’ai beaucoup aimé la teinte d’un bleu très doux et légèrement rosée ainsi que la forme absolument parfaite de cette fleur. Par ailleurs les feuilles arrondies tigrées de rouge sont très belles.

C’est la seule fois où j’ai rencontré pour de vrai un nymphéa de cette couleur.

J’ai des reproductions de planches de dessins datant de l’ancienne Egypte où des lotus nymphéas sont dessinés. On dit qu’ils étaient bleus.

 

Renouveler son énergie au centre d’un mandala…

jeudi, août 23rd, 2012

Renouveler son énergie au centre d’une fleur, au coeur de son jardin intérieur, voilà un beau bonheur…

Mandala de la fleur…

vendredi, août 17th, 2012

Epanoui comme une grande fleur odorante et colorée qui s’ouvre dans la ville

_ le jardin intérieur de mon coeur_

Dans la ville un jardin intérieur qui s’ouvre…

jeudi, août 16th, 2012

Dans la ville de Montauban , un jardin intérieur  qui s’ ouvre comme une grande fleur odorante et colorée. C’est un lieu d’accueil où il fait bon se promener et se reposer à l’ombre des grands arbres et méditer sur le sens de la vie… Et sur un banc, à l’abri des regards vous y trouverez des amoureux qui se bécotent éternellement.

 

L’enfant que je fus….

lundi, août 13th, 2012

Poésie trouvée dans le blog arbrealettres.

Fumée et odeur

d’un feu de bois

dans le brouillard d’automne

apparaît soudain

l’enfant

que je fus

brutale

foudroyante

conscience

des années

qui ont fui

Poète : Charles Juliet

 

Le soir arrive sur les berges du Tarn. Mandala de l’instant.

samedi, août 11th, 2012

Un extrait de mon roman « Un éternel soleil » publié aux éditions EDILIVRES avec le nom de plume Brigitte Gladys . Une partie de l’action se situe à Montauban .

Le soir arrive,

L’hirondelle pourpre vole haut dans le ciel,

Il fait doux,

Il flotte dans l’air des notes légères et parfumées,

Le soleil couchant tisse

des fils de soie et de lumière

qui dansent en scintillant sur la rivière.

Une nuit violette glisse tout doucement

son voile de danse orientale sur le jour…

Le temps a passé emportant avec lui le manteau gris de la mélancolie.

Je suis revenue vivre dans le pays où j’ai grandi.

Une barque blanche est amarrée le long des berges du Tarn.

On entend le clapotis de l’eau

et la brise dans les feuilles d’alba.

Les oiseaux sautillent gaiement de branche en branche en pépiant…

J’inspire profondément, fleurs de tilleul, parfum de miel.

Je suis heureuse et en paix avec moi-même. J’ai pardonné le mal que l’on m’a fait et je me suis pardonnée de lui avoir accordé autant de place…

Je suis en parfaite harmonie avec la nature, et me sens libre et unie au Tout, à la rivière, aux arbres, aux chants des oiseaux, à la brise, au soleil, aux étoiles qui arrivent une à une. Le Tout est en moi dans la continuité et dans l’éternité.

La divine illumination de mon premier amour a trouvé sa place dans mon espace sacré, pour un éternel printemps. Un jour,

après avoir tracé mon sillon sur la terre, je m’en irai le coeur léger, pour devenir une fenêtre ouverte sur le monde, une sentinelle du cosmos.

La France un beau pays, ma province, mon Occitanie…

lundi, août 6th, 2012

Le pont vieux, le pont neuf et puis à droite devant l’église, le musée Ingres.

Le Tarn coule  au pied de la ville de Montauban.

 

 

La France offre une multitude de paysages et de visages riches et merveilleux (forêt, plaines, bocages, montagnes, collines,vallées, rivières, lacs, mers….)que j’aime découvrir.

Cependant, passent les années, les mois, les jours,les heures, les minutes, les secondes, je garde toujours sur mon coeur écrit à l’encre violette, le nom de la ville où j’ai grandi et celui de ma province,  » mon Aquitanie ».

Même si, dans ses ruelles, plus personne ne me reconnaît, moi, je la reconnais et elle me reconnait aussi . J’y suis restée fidèle.

Chaque endroit garde intact le souvenir du glissement de mes pas d’enfant. Chaque mur murmure des secrets et me renvoie mes émotions, mon sourire d’autrefois, lumineux et  rempli de rêves, d’espace, d’espérance .

Je me souviens de la couleur vibrante et rose des toits, de la brise dans la robe des tilleuls, de l’eau verte et frissonnante du Tarn, du parfum des iris le long de ses rives, je me souviens..

Une mélodie à la harpe émouvante de John Thomas : l’adieu au pays natal du ménestrel.

Langeac, point final de la balade sur l’Allier.

vendredi, août 3rd, 2012

http://www.youtube.com/watch?v=EhMRTtt_K3s

Cette stèle rend hommage à 125 ans de chemin de fer avec, son atelier, son dépôt et ses locomotives à vapeur . On peut s’arrêter pour visiter Langeac ou bien refaire la balade dans l’autre sens jusqu’à Langogne