De cette ville j’en garderai toujours un souvenir ébloui, j’étais conquise, j’étais sous son charme, il y avait tellement de merveilles à découvrir, que cela soit dans le domaine de l’architecture, de la peinture ou de l’histoire tout court.
J’ai toujours aimé apprendre, toujours apprendre…
De cette ville là, j’ai également un drôle de souvenir, un souvenir, une manière de faire qui aujourd’hui ne doit plus avoir cours. L’époque est plus morose. Depuis, il y a eu l’arrivée du sida et puis aujourd’hui du coronavirus. Cela freine les ardeurs les plus tenaces.
A cette époque là, les hommes de cette ville étaient légers, légers comme des feuilles portées par le vent. L’été venu, ils envoyaient femme et enfants à la mer et s’adonnaient au plaisir de la chasse aux belles étrangères. Souvent par deux ou trois ou seul, ils arpentaient les rues de la cité.
Certaines belles esseulées, surtout des nordistes venaient spécialement dans cet endroit pour les rencontrer. Ce n’est pas l’Art quelles recherchaient mais, d’autres plaisirs plus terre à terre…
Elles se plaçaient à la terrasse d’un café en prenant des poses avantageuses et attendaient. C’était un jeu et le jeu fonctionnait très bien, elles ne repartaient jamais seules.
Je vous propose un morceau choisi d’un de mes écrivains et penseurs spirituels préférés : Arnaud desjardins : Les chemins de la sagesse.
L’art est apprécié à travers les émotions, les goûts, les névroses individuelles ou collectives, les modes, le jeu de l’action et de la réaction. Tout est dépendant, conditionné, relatif et il n’y a en vérité, ni beau ni laid : Il y a ce que chacun aime et n’aime pas. Mais il y a, dans tous les arts, des niveaux de réalité, des niveaux de proximité ou d ‘éloignement par rapport au « Centre », au but de la vie. Ces niveaux, eux, ont une valeur objective. Le sage, qui est arrivé au bout du chemin, peut comprendre tous les niveaux. Les autres hommes ne comprennent pas : Ils sont attirés ou ils ne sont pas.
Le chercheur de vérité reconnaît peu à peu les oeuvres d’art qui lui parlent de son but ou qui lui en montre le chemin.
Un extrait tiré du livre -Les chemins de la sagesse- Arnaud Desjardins
Les chercheurs de vérité (d’essentiel) reconnaît peu à peu les oeuvres qui lui parlent de son but ou qui lui montre le chemin.
L’art est apprécié à travers les émotions, les goûts, les névroses individuelles ou collectives, les modes, le jeu de l’action et de la réaction. Tout est dépendant, conditionné, relatif, il n’y a en vérité ni beau ni laid : Il y a ce que chacun aime et n’aime pas. Mais il y a dans tous les arts, des niveaux de réalité, des niveaux de proximité ou d’éloignement par rapport au « centre », au but de la vie. . Ces niveaux, eux ont une valeur objective. Le sage, qui est arrivé au bout du chemin, peut comprendre tous les niveaux. Les autres hommes ne comprennent pas : Ils sont attirés ou ne le sont pas.
A travers toutes mes photos de centre de fleurs c’est cette petite parcelle de divin qui m’anime et que j’illumine.
Sur le journal local, l’autre jour j’ai lu : La petite fée de la poésie « Plume » fait escale dans votre ville pour accrocher des fleurs de poésies à chaque coin de rue, dépêchez vous d’envoyer les vôtres elles seront exposées ….
J’ai salué cette belle initiative en envoyant plusieurs poèmes.
Les poésies doivent sortir des tiroir pour être accessibles et lues par tout le monde. C’est beaucoup mieux ainsi.
J’aime offrir des fleurs et des poésies pour marquer certaines occasions.
J’ai écrit un poème pour le mariage de ma cousine , la même qui m’a aidée à monter l’exposition de septembre 2010 aux cloître des Oblats.
L’histoire d’Evelyne et Jean c’est tout un poème et elle le vaut bien.
Ce poème a été choisi par Plume pour être exposé près de la fontaine des quatre dauphins le jour des flâneries d’art dans 7 jardins du quartier Mazarin. Grâce à l’initiative de la pétulante actrice Andréa Ferréol, ces magnifiques jardins aixois d’ordinaire fermés ouvraient leur porte pour le week-end du 18 Juin.
Invitation à la flânerie, doux moment de détente dans les rues et les jardins fleuris d’art et de poésie.
Voici donc le mariage d’evelyne et Jean ; un poème écrit par moi pour eux, une fleur de poésie que je leur offre pour ce jour mémorable tant attendu ….
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