Posts Tagged ‘chemin’

Dans le Sud c’est toujours l’été. Sur mon chemin, mandala-soleil des fleurs.

dimanche, octobre 16th, 2011

Mandala solaire des fleurs de gazania pourpres au coeur d’or. Absolument magnifique. Bonheur de jadis en lien avec le présent et le futur.

Le présent contient le passé et le futur.

Sur le chemin , un mandala gourmand, un saint Génix…

mercredi, septembre 14th, 2011

Cette spécialité savoyarde, je ne la connaissais pas, elle a l’air vraiment délicieuse.

Vers le vieil Annecy, chemin faisant l’impressionnant Palais de l’Isle.

mercredi, août 24th, 2011

En pierres grises et toit d’ardoise  ce très vieil édifice (XIeme siècle) en forme de bâteau se dresse au coeur de l’Isle.

Éblouissante de lumière, une fleur en soleil

mercredi, août 17th, 2011

Bonheur.

Sur le chemin vers la viel Annecy, j’ai rencontré :

-mandala d’or et de lumière-

Une fleur en soleil

De la mort à la vie et de la vie à la vie …. Un éternel soleil mon ouvrage paru chez Edilivre.

jeudi, août 4th, 2011

Un terrible accident de voiture sur la nationale qui brise tout sur son passage. Un évènement imprévu qui fait basculer sa vie dans un cauchemar  noir et absolu.

Le choc effroyable, un cri déchirant , la douleur implacable qui vous broie les os, la perte connaissance. La vie qui s’en va.

Plus tard, le réveil confus, la mémoire est défaillante, le passé et le présent se confondent. Immobilisée à plat dos, écrasée de douleur…. Vivre ou mourir, mourir ou vivre ?

Quels sont les éléments qui m’ont poussée à survivre ?

Il aurait été si facile de basculer de l’autre côté et de dire comme le poète désespéré Pavese : « Et la mort viendra et elle aura  tes yeux ». Le poète a écrit ces vers en pensant à la femme qui l’a abandonné.

Où ai-je- puisée la force pour surmonter la souffrance et cette épreuve qui va bouleverser et changer mon existence à jamais ?

Ce sont les questions soulevées dans cet ouvrage inspiré par une douloureuse expérience de vie.

La mort est au bout du chemin, c’est le sort de tout un chacun mais, il faut  continuer son chemin en se tenant debout  et créér sans relâche.  La mort n’est pas le but ultime c’est juste un passage, autant vaut-t-il que cela soit un beau passage.

Moi, j’aimerais la mort soit douce, sans cri, qu’elle arrive à petit pas, que j’ai le temps de l’en-visager, de l’apprivoiser  alors, j’entrerai en méditation pour atteindre l’extase.

j’aimerais partir sans souffrance. La pire des morts, c’est quand il y a violence et qu’elle vous surprend sans prévenir.

La couverture de mon ouvrage est une oeuvre personnelle.

No soy de aqui, ni soy de alla (je ne suis pas d’ici, je ne suis pas là-bas) Une très belle chanson de Facundo Cabral (1937-2011))

jeudi, juillet 14th, 2011

Je viens de découvrir cette chanson et cette vidéo très émouvante que je mets en partage.

Un texte fort et poétique , une voix si douce et si mélodieuse.

Honoré du titre de « messager mondial de la paix » par l’UNESCO en 1996  pour ses messages et ses prises de position.

Le refrain parle d’un sujet qui m’est cher : L’identité

Je ne suis pas d’ici, je ne suis pas de là-bas

Je n’ai pas d’âge

Mon avenir c’est d’être heureux

C’est ma  couleur d’ identité.

Une identité qu’il ne définit ni par son nom ni par son lieu de naissance.

http://www.youtube.com/watch?v=xD3G6eM3tPI&feature=related

La poésie est universelle, elle n’a pas de pays, elle n’a pas de frontière, elle est libre de voyager dans l’espace et dans le temps, la poésie est au centre parce qu’elle touche cette petite parcelle d’infini qui brille dans notre coeur. telle est ma définition de la poésie.

Sa poésie écrite et chantée est d’ailleurs comme d’ici, elle est émouvante et libre et libre de se déplacer dans le temps et dans l’espace c’est ainsi que nous pouvons l’écouter aujourd’hui , ici à des milliers de kilomètres de l’Argentine le pays natal de Facundo Cabral.

Le poète n’est pas mort tout à fait, vive le poète et vive la poésie !!!

Néruda l’inoubliable, quelques poèmes que j’ai trouvés en me promenant dans les allées de YouTube.

dimanche, juin 12th, 2011

Tout d’abord j’ai retrouvé avec un immense bonheur Paco Ibanez et sa voix si prenante que j’écoutais en boucle quand j’étais étudiante. Il chante  : Me gusta cuando calle …. Un poème de Pablo Néruda. Cela veut dire :  J’aime quand tu fais silence et que je partage ton silence habité. La traduction littérale donnerait, « j’aime quand tu te tais » et cela serait un peu raide.

Puis en partage vous allez découvrir le même poème dit par l’auteur lui même.

 

YouTube – ME GUSTAS CUANDO CALLAS- PABLO NERUDA

Et puis pour commencer la journée avec  plein de bonnes résolutions cet autre poème de Néruda.

La prière de la sérénité (écrite par des moines anomyme du moyen âge)

lundi, mai 9th, 2011

B100px-bernhard_von_clairvaux_initiale-b.jpgUne autre manière de le dire associée à une jolie  lettrine de l’époque représentant Bernard de Clairvaux.

Mon dieu donnes moi la sérénité

D’accepter toutes les choses que je ne peux pas changer,

Donnes  moi le courage de changer les choses que je ne peux changer.

Si, dans ta vie , tu devais pleurer,

Te sentant bien seul, loin de ceux que tu as aimés

Dis toi bien que tu auras toujours quelqu’un qui te montrera le chemin.

Écoutes ces mots, car moi qui te les dis, je n’ai pas toujours été ce que je suis.

J’ai connu bien des pleurs, des paniques, et des misères,

Alors récite avec moi cette prière.

Mon dieu donnes moi la sérénité,

d’accepter toutes les choses que je peux changer.

Donnes moi le courage de changer les choses que je peux,

Et la sagesse d’en connaître la différence.

Tu devras aussi te prendre en main,

Si tu veux changer ton destin,

Laisses de côté les choses qui te détruisent,

Tu auras alors de belles surprises.

Pour toi, chaque jour deviendra ensoleillé,

Ton coeur s’ouvrira à l’amour.

Ne vis qu’un jour à la fois si tu veux en profiter,

Et tu seras heureux pour toujours.

La suite demain….

suite :

Mon dieu donnes moi la sérénité,

d’accepter les choses que je ne peux changer.

Donnes moi le courage de changer les choses que je peux changer

Et la sagesse d’en connaître la différence.

Quand ma patience est à bout, aides moi à la retrouver.

Apprends moi à faire face aux difficultés avec calme et sérénité.

Lorsque je suis à court de réponses vives et intelligentes,

Permets que cesse le flot de questions, au moins pendant un court moment.

Mon dieu donnes moi la sérénité,

d’accepter toutes les choses que je peux changer.

Donnes moi le courage de changer les choses que je peux,

Et la sagesse d’en connaître la différence.

Et quand j’ai l’impression que les journée sont trop brèves

pour que je puisse accomplir toutes les tâches qui m’attendent,

Fais au moins que je puisse accomplir toutes les tâches qui m’attendent,

Fais au moins que je trouve le temps de faire le plus important,

Le temps d’écouter, le temps d’aimer

et le temps de rire aussi.

Une belle prière qui traverse aussi le temps..

Le 2 mars. Tristes confidences. Aujourd’hui, dans ma maison les fleurs chantent et dansent.

mercredi, mars 2nd, 2011

Je suis née trop tôt

Je suis née trop tard

Je devais naître au printemps

Je suis née en hiver et aux forceps

Au mauvais endroit

Au mauvais moment

C’était un jour de rien

Un jour où ce n’était pas bien

On ne m’attendait pas

On ne me désirait pas

Mon parrain désigné

Pour le baptême

A déclaré forfait.

Devant un tableau aussi funeste ma bonne fée a eu pitié de moi et m’a dotée de quelques dons et précieuses qualités qui m’aideraient à avancer sur le chemin de la vie.

Le plus beau cadeau dont elle m’ai189.JPG parée, c’est le don de créativité : créer avec les mots, l’imagination, les couleurs, le dessin….

Créer c’est la vie et la vie c’est créer.

Créer apporte le bonheur et permet de trouver des solutions à chaque problème.

Aujourd’hui, dans ma maison les fleurs chantent et dansent ….

verslecentre qui est née un 2 mars .

Qui chuchote au soleil toute la beauté des jardins du monde

samedi, février 19th, 2011

001.JPGCette couleur là je l’associerais à une écriture poétique qui m’est venue en pensant à lui et à une peinture de matin de printemps sur jardins en fleurs.

« J’étais interne au lycée. Il était externe. Je ne le voyais que pendant les cours et la récréation. La vie de pensionnaire était morose . C’était comme un soleil pour moi et chaque matin j’attendais avec impatience son retour. Nous parlions pas, nous parlions peu mais, chaque geste était un aveu, notre communication était légère, intuitive, divine, magique, mon regard éclairait son regard et ses lèvres me répondaient toujours par une secrète parole d’amour, ses mouvements étaient des murmures que moi seule comprenais et qui faisaient éclore chaque jour un bonheur nouveau…

J’aimais l’ange en lui, il aimait l’ange en moi… Nous marchions sur des chemins de lumière.

Devant nous s’étendaient des jardins sans limite qui chuchotaient au soleil toute la beauté des matins du monde. J’étais sa divine amie il était mon éternel amour. »

Passage tiré de mon ouvrage publié  chez Edilivres : Un éternel soleil avec comme nom de plume Brigitte Gladys.

Je l’associerais aussi à un beau montage vidéo avec Charlie Chaplin : The king of the tramps.

Quand Charlie fait le clown, il a l’inspiration et la grâce d’un ange, il est drôle et merveilleux dans sa créativité.

Les images sont en noir et blanc mais tout est joyeux et en couleurs, les mouvements, la musique et les mots chantés inventés… Quand à la peinture à laquelle je l’associe, c’est une oeuvre personnelle.

http://www.youtube.com/watch?v=_Oalhd3TgAw&NR=1