Un grand auditorium de 500 places à l’acoustique parfaite (beaucoup de bois). Il allie beauté, sobriété et
efficacité
.
Nos amis autrichiens le jour de l’inauguration.
Une des salles individuelles de répétition.
Une esthétique irréprochable, il a tout bon ce nouveau conservatoire et il est fait pour durer combien de siècles au juste ? L’avenir nous le dira…
Le Pavillon noir à gauche le conservatoire à droite et tout au fond la cité du livre, ancienne fabrique des allumettes.
L’a
rchitecte japonais Kengo Kuma signe une oeuvre inspirée et très originale merveilleusement insérée dans l’espace qui lui est imparti .
L’acoustique y est parfaite pourtant, le conservatoire Darius Milhaud se situe près d’un axe routier.
Il constitue un trait d’union entre le centre ville, le complexe culturel et les quartiers
Quand il est sorti de terre, Le Pavillon noir, tout en béton armé presque noir et de verre, il faut bien le dire, ‘il choquait un peu, surtout par rapport à son environnement géographique. Aujourd’hui, il est très bien intégré dans le quartier et en lien avec les nouvelles architectures qui ont vu le jour un peu plus tard.
Ce que j’aime dans cette architecture c’est l’alliance du béton et de transparence du verre et son côté hyper fonctionnel. De l’extérieur on peut voir les danseurs, parfois ils dansent aussi sur les branches de la structure extérieure.
J’aime également les glycines qui l’habillent dont les fleurs mauves se marient très bien à la couleur du béton noir-gris