L’admiration de la beauté de la nature est un élément constant et vital dans la poésie orientale. On vénérait les arbres, leur culte était répandu dans la chine ancienne. On suspendait souvent des guirlandes, des lanternes, des étoffes rouges ou des petits morceaux de papiers à leurs branches parfois avec un poème écrit dessus. On pensait que lorsqu’ils étaient abattus, ils saignaient pleuraient ou hurlaient.
On accordait aux feuilles des pouvoirs magiques
Une feuille reposant sur un filet ou bien une pièce d’étoffe rouge est un des 8 trésors du Tao et une emblème de félicité. Les autres trésors sont les perles, les losanges, les miroirs, les pièces de monnaies, le esquilles de pierres, des cornes de rhinocéros et des livres.
Un petit poème qui va avec les arbres.
Feuillage rougi d’automne,
Luxuriant sur la montagne.
Comment retrouverai-je mon bien-aimé
Qui s’est égaré ?
Les sentiers de la montagne me sont inconnus
Poème anonyme du 5ème siècle, Japon